La bibliothèque est envahie par les étudiants et on est loin de la tranquillité presque ennuyante de cet été. Au moins, des gens que j'aime viennent cogner à ma porte et on va dîner ensemble. En revenant, j'oublie toujours de faire un détour par le quatrième étage pour vérifier si tout y est encore aussi vide. Il y avait quelque chose de vraiment étrange à marcher dans les rayons désertés, sur les planchers marqués par le poids des livres, à entendre l'écho de mes pas sur les murs en béton, à observer tous ces postes de travail non-occupés, toutes ces portes maintenant ouvertes. On se serait presque cru dans un stationnement souterrain.
mercredi 15 septembre 2010
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