On fermera les volets, on laissera la brouette regarder les bateaux qui passent dans le soleil au bout du cap. On s'en ira, loin au pays des cow-boys, on plissera les yeux sous le vent et on se promènera à travers les vignes, et sur la plage, et dans les rues qui donnent le vertige. On fermera les volets, on reviendra un peu plus tard et on se rappellera comment on flânait sous le ciel bleu, les souvenirs se faufileront jusque dans nos rêves, avec le bruit des vagues et celui des cable cars.
samedi 21 juillet 2012
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