L'homme est malade et je bois des tonnes de jus de pamplemousse pour ne pas choper la vilaine. C'est la vraie rentrée. Il fait toujours aussi froid dans mon bureau (je ne pense pas pouvoir m'habituer, non.) et mes pieds portent les marques douloureuses de mes chaussures neuves, que je détestais déjà sur la tablette et que j'ai achetées par dépit. J'ai envie de les punir et de les laisser prendre la poussière sous un meuble, chose que je ne ferai pas. Je vais plutôt installer des plasters aux bons endroits et me croiser les doigts pour que ça passe.
En attendant un miracle (chaleur bureaucratique, confort pédestre), je bouge ma tête de droite à gauche pour éliminer mon mal de cou et je soupire de contentement, parce que j'aime ce que je fais et que les petites ados du lundi matin se sont terrées au fond de la classe avec leur air bête, sans me déranger.
En attendant un miracle (chaleur bureaucratique, confort pédestre), je bouge ma tête de droite à gauche pour éliminer mon mal de cou et je soupire de contentement, parce que j'aime ce que je fais et que les petites ados du lundi matin se sont terrées au fond de la classe avec leur air bête, sans me déranger.
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