samedi 29 mai 2010

Boire du café, acheter un steak: samedi.

Je sens enfin moi, après un après-midi à puer la matante ("ce parfum est très léger, jeune, frais" m'avait-elle menti.) et je retrouve mon odeur rose avec délice. La télévision est ouverte mais personne ne l'écoute vraiment. Je relève les pubs qui m'énervent (Tim Hortons: ça suffit, pour l'amour!) et les concepts brûlés (faire une narration façon Amélie Poulin, il faudrait en revenir, ça fait déjà 9 ans). Je passerai la soirée avec les copains à faire la navette entre le balcon et le salon, on écoutera peut-être le hockey et je prendrai furieusement pour les Blackhawks, en espérant qu'ils plantent les maudits Flyers en 4.

6 commentaires:

  1. Me tanne pas de ces photos, moi. Jamais.

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  2. :D Ton quartier est si inspirant!

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  3. c'est parlant une porte :la triste mine de celle de prison ;celle ci c'est le luxe ,l'accueil chaleureux, un peu bourge peut-être?

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  4. Oui, celle-ci est bourgeoise à l'os.

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  5. La matante,... ça sonne comme un parfum de "tueuse", non ?!

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  6. Pas tant, non. Ça sent plutôt comme un vieux fauteuil fleuri ou comme un mélange de produits ménagers et de bouquet mortuaire. Yuk.

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