Je sens enfin moi, après un après-midi à puer la matante ("ce parfum est très léger, jeune, frais" m'avait-elle menti.) et je retrouve mon odeur rose avec délice. La télévision est ouverte mais personne ne l'écoute vraiment. Je relève les pubs qui m'énervent (Tim Hortons: ça suffit, pour l'amour!) et les concepts brûlés (faire une narration façon Amélie Poulin, il faudrait en revenir, ça fait déjà 9 ans). Je passerai la soirée avec les copains à faire la navette entre le balcon et le salon, on écoutera peut-être le hockey et je prendrai furieusement pour les Blackhawks, en espérant qu'ils plantent les maudits Flyers en 4.
samedi 29 mai 2010
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Me tanne pas de ces photos, moi. Jamais.
RépondreSupprimer:D Ton quartier est si inspirant!
RépondreSupprimerc'est parlant une porte :la triste mine de celle de prison ;celle ci c'est le luxe ,l'accueil chaleureux, un peu bourge peut-être?
RépondreSupprimerOui, celle-ci est bourgeoise à l'os.
RépondreSupprimerLa matante,... ça sonne comme un parfum de "tueuse", non ?!
RépondreSupprimerPas tant, non. Ça sent plutôt comme un vieux fauteuil fleuri ou comme un mélange de produits ménagers et de bouquet mortuaire. Yuk.
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