J'ai su hier, bien avant que ce soit confirmé par internet, que Québec était enrobée par la fumée de tous ces feux de forêts plus loin au nord. J'avais affirmé que l'air jaune et cette odeur qui prenait à la gorge n'étaient pas un simple smog, j'avais deviné que le soleil deviendrai un énorme disque rouge qui ne rayonnerait plus. Ça m'a rappelé ces deux étés passés plus loin au nord, quand mon boulot était interrompu par la sécheresse; alors que planter des arbres pouvait déclencher un brasier destructeur contraire à nos ambitions de reboisement.
Je savais tout ça, n'empêche. De voir un tel paysage à 4h de l'après-midi a quelque chose d'apocalyptique.
on dirait qu'un soleil d'incendie a éclaté dans le ciel, triste les arbres qui flambent...
RépondreSupprimerComme tu dis, ça a quelque chose d'apocalyptique.
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