Les doigts qui courent sur le clavier pour rattraper le temps perdu et les échéances dépassées, le soleil qui tape dans la fenêtre, celle de la cuisine qui est ouverte pour aérer et sécher les vêtements suspendus, le téléphone qui sonne, l'estomac qui tente de reprendre le rythme, les projets qui s'accumulent malgré le manque de temps, le printemps qui se pointe le nez en coulant des gouttières, le chat inconnu qui miaule sur le banc de neige, le thé qui refroidit au fond de la tasse, les minutes qui filent, mardi, 14h40.
mardi 2 mars 2010
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Dévalée la pente raide du quotidien. Pan !
RépondreSupprimerDévalée, assise dans une soucoupe mauve dans la CÔTE DE LA MORT où nous ne serons pas allé cet hiver, shit de shit. À moins qu'on se reprenne à la tempête de la St-Patrick. Pan!
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