dimanche 14 mars 2010

Quand la probabilité est nulle

Hier midi, autoroute 20. Je prédis une victoire du Canadien 3-2 contre Boston. Hier soir, au Centre Bell. La fille assise à côté de nous est crinquée à l'os et elle hurle sans cesse aux arbitres comment faire leur boulot (entre autres). Elle porte une jupe et un décolleté impressionnant et je me demande pourquoi elle tient tant à être "sexy" (entendons-nous, ce n'est pas une beauté et elle abuse vraiment du salon de bronzage. Âge estimé: 37 ans) au fin fond du Centre Bell. Et puis je me dis "en tout cas, elle ressemble vraiment à la fille folle à côté de qui on était assis l'an dernier". Au même moment, mon charmant voisin de siège se penche vers moi et me dit: "heille, c'est trop fou, je pense que la fille débile à côté, c'est la même fille que l'année passée, elle avait la même jupe pis je reconnais son chum". 
On s'étire, on la salue, oui, c'est bien elle, elle nous avait reconnus aussi. La probabilité (21 273 sièges X 41 games) que ça arrive, c'est supposé être proche de zéro, me semble. Ça et prédire le bon pointage, c'est moins mille. Et aussi, aimer la Molson M à 12$ la grande canette: probabilité nulle.

2 commentaires:

  1. Hahah ! Moi, je dis : prends des billets de loterie, now. ;)

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  2. Y faudrait, mais la fille du dep va se moquer de moi. ;)

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