Du haut du 5e ce matin, j'entends des tests de sons, puis de la musique traditionnelle qui résonne trop fort dans mon cabinet habituellement calme. Je n'approuve pas du tout qu'on dérange ainsi mon boulot, comme ça, sans que j'en sache la cause, je rouspète, je tend le cou pour voir ce qui se passe (4 autobus scolaires, une scène montée en plein soleil, quelques gradins, peu de spectateurs).
Plus tard, j'ai su que c'était une fête pour le relais de la flamme paralympique. Les 32 athlètes se sont relayés pour faire le tour du stationnement (!) 8 fois. Triste à mourir. Du coup, je me suis trouvée nouille de pester pour mon silence alors qu'eux, justement, personne n'en parle et qu'en plus, ils n'ont droit qu'à la platitude du stationnement derrière le Félix-Antoine-Savard. Comme si, à Québec, il n'existait pas d'endroit plus réjouissant. Me semble, oui.
Triste...
RépondreSupprimerIls sont vaillants malgré tout.
RépondreSupprimerOui, super vaillants! Dommage qu'ils ne profitent pas de la même couverture médiatique que les autres...
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