La pluie prévue qui ne vient pas, le vent qui souffle doucement sur les bourgeons. La machine qui lave les rues, encore, en grondant. Dans ma tête trotte le souvenir d'une belle journée, d'une pause dans le temps. Les pièces sont en désordre et ça ne me fait pas un pli. Je finis mon café un peu froid, je regarde ma montre, bof. Pas besoin de penser, ni de se poser mille questions. Juste à s'imaginer qu'on passe le temps, assis dans une trippe, à dériver sur un lac tiède, le soleil dans les yeux.
mercredi 21 avril 2010
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Miche ! Joli comme tout, cette petite chose. :)
RépondreSupprimerMiam.
RépondreSupprimer